Création du Conseil jedi

Les cinq chevaliers jedis menés par le maître jedi Thiks arrivèrent dans une assez grande caverne aux Cristaux. Thiks s'arrêta, se retourna, et dit :

Voilà. C'est içi que je voulais vous proposer de nous installer. Les galeries pour venir jusqu'içi sont de vrais labyrinthes. De plus, c'est situé très en profondeur sous la surface d'Ilum, un bombardement ne nous causerait donc que très peu de dégats matériels.

Des dizaines de grottes peuvent servir de salles d'entraînement, de stockage, de dortoirs, ou plein d'autres choses. Et, comme vous le savez, les cristaux de ces cavernes absorbent la majorité de la Force, l'empêchant de se faire détecter de l'extérieur.

Il existe une caverne très grande remplie de cristaux. Bref, toute cette grotte est la cachette idéale... Qu'en pensez-vous?

Thiks regarda Katar Aswo, et lui répondit :

Concernant le matériel et les armes, ne vous inquiétez-pas... J'ai des armes terrifiantes à mon campement... Et le matériel ne manque pas...

Mais concernant le soutien des planètes, je compte sur quelques planètes, en effet...

Mais, je vais vous laisser visiter ces grottes. Je vais chercher tout le matériel.

Thiks partit en laissant les chevaleirs jedis parler.

Tobbi regarda les autres jeid puis il dit :

Bon je vais visité cette partie et je m'occupe de trouvé la salle d'entrainement idéale. Vous pouvez chercher le reste.

HJ : Si vous voulez decouvrir un lieu ideal nommé le "...(en construction) on supprimera le en construiction des quelles sera crée.

Suite : Salle d'entrainement (en construction)

Le chevalier Ayud regarde le vieux maître quitter le groupe à nouveau puis observe un à un les jedis restants. Il est mal à l'aise. Ils sont trop vindicatifs, avides de revanche et de victoire. Ils ne parle ni de l'Ordre ni de La Force. Ils n'ont en tête que la Guerre. Ils ne semblent pas réunis pour combattre le Coté Obscur mais les pauvres créatures qui en sont les victimes. Leur première réponse c'est d'embraser l'univers d'une nouveau conflit meurtrier. 900 ans d'exil et c'est leur seul réponse. Décevant.

Thiks a écrit:

ne vous inquiétez-pas... J'ai des armes terrifiantes à mon campement... Et le matériel ne manque pas...

Est-ce les paroles d'un maître jedi ? Ce n'est pas ce qu'on a enseigné au jeune chevalier.
Le sabre laser n'est-il pas une arme suffisante ?

Citation :

Pour la défense, un jedi utilise ses dons, jamais pour l'attaque.

Où est la Foi en La Force dans ce groupe sensé reformé l'honorable et sage Ordre ?

Ayud est perplexe.
Est-ce une épreuve de la part du vieux kel'dor ?

Les chemins étroits de la caverne empêchait Rayl de se mouvoir correctement, il faut dire que les galeries devaient avoir été creusé depuis un bon bout de temps, et a force de ne pas les entretenir quelques une d'entre elles s'étaient affaissée.

Ils étaient là tous rassembler autour de maître Thiks, dans la pénombre de la caverne, on aurait dit qu'ils n'étaient plus que des ombres. Des ombres sorties du passé, pour rebâtir ce qui fut mis à bas. Le vieux jedi proposait de construire leur "nouveau temple" ici. Pour le jeune bothan, cela semblait être la meilleure solution, ainsi acquiesça-t-il lorsque la solution fut proposée.

Seulement quelque chose vint le perturber, le chevalier Katar n'avait qu'une idée en tête semble-t-il, rallier des peuples pour la guerre. Or Rayl ne pensait pas que ce soit la priorité pour le moment, pour lui il fallait d'abord ce reconstruire. Propager l'idée d'une force lumineuse, d'une galaxie où les jedis seraient les guides vers la lumière.

Il fallait se rassembler, créer des bases solides. Chercher de nouveaux novices, et les former.

Déjà, un jedi partait construire une salle d'entraînement.

"Serait-ce donc la notre priorité maître Thiks ? La guerre, au lieu de la foi. Ne pensez-vous pas que avant toute chose, nous devons nous accorder sur la philosophie à suivre. Nous allons rebâtir un ordre, et des règles doivent être établie. Il me semble que la première chose à faire, c'est d'établir nos préceptes. Ce n'est que de cette manière que nous pourrons rassembler les peuples. Construisons une salle de méditation, et une salle pour le conseil. La pratique de la guerre viendra après, car je suis sûr que chacun de nous sait manier son sabre."

Quelque peu surpris de sa prise de parole, Rayl recule, et se tient près à écouter toutes réponses.

Malakian regarda le chevalier pendant un moment

Oué c'est vrai ce que tu viens de dire mais on a pas beaucoup de temps devant nous l'empire ne vas pas tarder a attaquer et on devra avoir une bonne defence

Ayud se mèle enfin à la conversation pour appuyer le jedi qui se fait appeler Qui'sa. Il parle en ragardant dans ses pensées :

- C'est déjà par le passé le manque de foi en La Force qui a perdu l'Ordre. Nous aurions tort, je pense aussi, de croire à nouveau que la solution est dans les armes. La Force est notre allié et de tous les alliés qu'on puisse espérer c'est le plus puissant. Travaillons à le cultiver et notre bénéfice, et surtout celui de La Galaxie, n'en sera que plus grand.

Tobbi arriva lorsqu'il avait dit sa phrase et repondit.

Peut-etre ! Mais j'ai toujours suivit maitre Thiks aveuglément ! Si il dit que c'est bon pour nous je le suivrait !

Tobbi a écrit:

Peut-être ! Mais j'ai toujours suivi maître Thiks aveuglément ! S’il dit que c'est bon pour nous je le suivrais !

C'est parole venait de raisonner à ses oreilles. Ainsi, les jedis n'étaient que des pantins suivant aveuglement leur maître. Non, il ne pouvait se contenter de cette explication.

"Donc, s’il s'averrait que votre maître était un sith vous le suivriez ? Bien sûr, ce n'est pas le cas, et cet exemple est un peu fort. Mais peut-être vaut-il mieux quelquefois contredire celui en qui nous croyons, pour qu'il nous corrige, ou nous suive. Les vérités sont multiples dans notre grande galaxie, peut-être cette fois-ci maître Thiks a-t-il tord ? Bien que ce soit nous, et non lui, qui parlons de guerre ?"

Il fallait absolument qu'il parle d'autre chose. Cette idée d'une guerre qui embraserait la galaxie et ferait d'innombrables morts lui était insupportable. Bien sûr, il savait qu'un jour où l'autre la guerre serait déclarée. Il savait aussi qu'une révolution, sans violence, n'est pas une révolution durable. Lorsque l'on recherche un mieux, il faut accepter de perdre une partie de ce à quoi l’on tient.

"Mes frères jedis, une autre question me turlupine. Depuis que notre ordre est ordre, il y a toujours eu un code. Il faudrait retrouver les anciens textes, sur lesquels nous réécrirons le nôtre. Maître Thiks doit certainement en posséder un, je propose que nous attendions qu'il revienne pour en discuter"

Ayud admire la perspicacité du maître jedi qui lit apparement en lui comme dans un livre ouvert et ceux malgré toute une formation impliquant la dissimulation. Pourtant cette intrusion dans ses pensées superficielles ne crée pas de malaise chez le jeune chevalier : les jedis ne doivent rien se cacher entre eux et le temps est venu où il faut faire confiance.
Ayud se retourne pour regarder si d'autres se rangent à lui.

Le vieux maître jedi était rentré, il était peut-être temps de demander des réponses à toutes ses questions. Mais avant que Rayl n'ait pu dire quoi que ce soit, reviens sur un point évoqué après son départ. Apparemment, malgré qui n'ait pas été là lors de leur discussion, maître Thiks avait pu lire dans les pensées Ayud.

Il posait maintenant une question.

Thiks a écrit:

Je crois penser que tu trouve l'idée de guerre bête. Explique-moi pourquoi.[/b]

Thiks pensa à la réponse d'Ayud. Elle devait être claire, et précise. Le vieux maître se doutait qu'il allait bien répondre. Avant une réponse, il posa une autre question :

D'autres chevaliers jedis sont-ils du même avis que toi?

Ainsi le vieux jedi était résolu à la guerre, Rayl n'était pas de cet avis et il comptait lui faire savoir

"Vénérable maître, je ne doute pas de votre sagesse, mais il me semble un peu tôt pour rentrer dans un processus de guerre. Notre ordre est à l'agonie, il faut reformer tout autour de nous. Nous ne sommes pas encore assez fort, et notre ordre n'est pas encore assez soudé. Nos idées doivent être diffusé insidieusement dans la galaxie. Je pense que le moment est venu de nous concentrer sur nous-même, de travailler sur nous avant de travailler sur ce qui nous entoure. Puisse mes paroles avoir touché votre coeur, et votre raison !"

Maitre Thiks n'a pas encore perdus la raison !!!!

Dit soudainement Tobbi

Je suis sure qu'il sait deja qu'il nous faut reconstruire l'Ordre, avant une guerre !! Ce n'ai pas en nous querelant maintenant que nous y arriverons ! Des remarques ?

Ayud se tourne vers Tobbi et répond avec douceur mais fermeté :

- Personne n'a dit que Maître Thiks avait perdu la raison, chevalier. Pas plus que nous ne nous querellons.

Ayud regarde les autres jedis présent :

- Depuis toujours l'Ordre prend ses décisions en se concertant. Ce n'est pas facile car il existe toujours plusieurs routes et aucune n'est sûre.

Ayud se retourne à nouveau vers le feeorin :

- Nous nous rencontrons pour la première fois depuis 900 ans. Nous avons à discuter et il faut que tous, nous ayons droit au chapitre. Car quand nous prendrons une décision, chacun devra y adhérer pleinement, de tout son corps et de toute son âme. Nous devrons peut-être donner notre vie pour ramener l'Equilibre dans La Force. Et nous ne pouvons nous permettre de la donner en vain, chacun isolé sur sa voie, ni d'hésiter quand il deviendra nécessaire d'agir. NOus ne devons faire qu'un.

Il se tourne enfin vers le kel'dor :

- Maître Thiks, je vous demande de former ici un conseil. Asseyons nous. Formons un cercle et communions dans la méditation. Nous parlerons lorsque nous serons calme, en paix.

Ayud s'incline en signe de respect.

Ayud s'assoit en tailleur sur la circonférence d’un cercle imaginaire, les jambes croisées, les pieds sous les genoux, le dos et la nuque bien droits, les deux mains posées sur les cuisses paumes tournées vers le haut. Ainsi, doit commencer la méditation en respirant normalement, sans forcer à l'inspiration, ni à l'expiration. La respiration connaît elle-même ses rythmes et ses variations d'ampleur.
La méditation est la remise en cohérence de soi, un enroulement de soi sur soi et le ramassement de soi avec soi. Ce n'est pas l'éparpillement, l'épanchement, la fusion, la métamorphose.

Le chevalier établit l'Attention dans La Force. Cette pratique consiste à veiller, à prêter attention aux choses perçues, ressenties, vécues, sans juger, sans intervenir sur leur contenu ni sur leur déroulement, observant le corps demeure énergique, compréhensif, attentif, ayant rejeté les désirs et les craintes ; observant les sensations..., observant l'esprit..., observant les sujets différents.
Dans son esprit coule l’antique litanie :

Citation :

...

Quand la torpeur est en lui, il sait : "En moi est la torpeur", quand la torpeur n’est pas en lui, il sait : "En moi n’est pas la torpeur", il sait comment la torpeur non apparue, apparaît. Il sait comment la torpeur apparue est déracinée. Il sait comment la torpeur déracinée ne surgira plus.

Quand le doute est en lui, il sait : "En moi est le doute", quand le doute n'est pas en lui, il sait : "En moi n'est pas le doute", il sait comment le doute non apparu, apparaît. Il sait comment le doute apparu est déraciné. Il sait comment le doute déraciné ne surgira plus.

Quand l'agitation sont est en lui, il sait : "En moi est l'agitation", quand l'agitation n’est pas en lui, il sait : "En moi n’est pas l'agitation", il sait comment l'agitation non apparue, apparaît. Il sait comment l'agitation apparue est déracinée. Il sait comment l'agitation déracinée ne surgira plus.

Quand le Coté Obscur est en lui, il sait : "En moi est le Coté Obscur", quand le Coté Obscur n'est pas en lui, il sait : "En moi n'est pas le Coté Obscur", il sait comment le Coté Obscur non apparu, apparaît. Il sait comment le Coté Obscur apparu est déraciné. Il sait comment le Coté Obscur ne surgira plus.

L’esprit d’Ayud s’étire dans La Force et touche les autres jedis assis autour du cercle.

Quand a Malakian il se mit a mediter tout en reflechissant a ce que les Jedis ont dit

Pense : L'empire domine tout pour l'instant faut pas rester les bras croisés il faut faire quelque chose

Puis il pensa a une amie avec qui il a fait connaisance ces derniers temps

Pense : peut etre que je dois parler avec les Jedis a propos de la maitresse du l'ordre hota

Au bout de quelques heures, les jedis se reveillaient peu à peu ouvrent les yeux simultanément. Tobbi prend la parole et dit alors à maitre Thiks:

Je vous laisse sceller le code de l'Ordre!

Ayud regarde fixement Tobbi puis Thiks. Posément, il prend à son tour la parole :

- Changer le Code ? Est-ce bien là notre priorité ? N'est-ce pas le non respect de ce code qui a plongé l'Ordre dans les ténèbres, Maître Thiks. Il nous enseigne


que nous devons nous détacher pour mieux nous impliquer,


que dans La Force, la manière est plus importante que le résultat,


que les jedis doivent défendre et non attaquer,


que le bien-être du grand nombre l'emporte sur les désirs du petit nombre.


Voilà ce qu'on m'a appris. Que voulez vous changer à cela ? La règle Un maître, Un apprenti ? Ou celle qui prescrit de ne former les padawan que depuis le plus jeune âge, quand les liens ne sont pas encore tissés dans le conscient ? C'est possible mais dangereux. Nous ne devons pas nous laisser dicter noas actes par notre soif de dénouement.

Il regarde autour de lui :

- De plus pour l'instant présent, c'est pour le moins inutile !

Ayud incline la tête :

- Ecouter fait déjà parti du Code que j'ai appris, maître : Mon Attention détermine ma Réalité.

Le chevalier relève la tête et reprend :

- Attaquer, par contre, ne fait pas parti de ce que l'on m'a enseigné. Il y a d'autre manière de remporter la Victoire et c'est vers celles-là que je souhaiterais voir concentrer nos efforts.

La méditation pour Rayl était quelque chose d'assez important. Il ne pouvait décemment pas se plonger dedans, pour quelque instant après en sortir aussi facilement.

Les jedis autour de lui étaient sortis de leur méditation, et déjà ils commençaient à parler. Il y avait beaucoup de choses à entreprendre pour l'ordre, et la galaxie. Mais tous jedis devaient savoir que méditer ne voulait pas dire dormir, et donc c'est avec attention que le jedi bothan écoutait la conversation.

Il se souvenait de la fois, où son maître alors en pleine méditation, l'avait surpris entrain de flirter avec une jeune Twi'lek. Il était encore jeune à cette époque-là, et la jeunesse se faisant le désir d'amour se fit plus grand. Son maître ne lui donna pas de leçon, mais lui dit ceci :

Citation :

"De tous temps, notre ordre à respecter le code qui disait que nul jedis ne pouvaient avoir un lien amoureux avec une autre personne. Nul jedis ne pouvaient enfanté. Mais nous avons changé d'époque, nombreux sont les jedis qui malgré cet enseignement sont passés du côté obscur. Il m'a toujours semblé que l'ordre s'écartait de plus en plus de la vraie voix. Enfin, laisse ses réflexions à vieux jedis comme moi, concentre-toi pour l'instant sur ta tâche de disciple de la force."

Par la suite, le bothan avait eu une liaison. Mais les enseignements de son maître étaient tels que malgré l'amour qui portait à la jeune femelle, aucune jalousie, ni aucun manque ne se faisait.

Aujourd'hui, il devait penser à beaucoup d'autres choses. Pour l'instant, il fallait se concentrer sur l'avenir de l'ordre en tant que lumière parmi les ténèbres.

Sortant de sa méditation, le jeune jedi prit la parole :

"Mes maîtres, je suis loin d'être le plus sage d'entre nous, mais voilà ce que je pense. Peut-être mon inexpérience me pousse-t-elle à dire nombreuse bêtise, mais ne pensez-vous pas qu'il est plus important de s'accorder mentalement, plutôt que textuellement. La parole d'un jedi ou de son conseil restera beaucoup plus longtemps imprégné dans les esprits, qu'un bout de papier dont nous ne saurions quoi faire.

Fixons-nous les objectifs à suivre, les buts atteindre pour l'ordre. Ensuite, le côté administratif viendra.
D'ailleurs, il me semble pour l'instant primordial de former de nouveau apprenti. Que pensez-vous de cela ?
De plus, il me semble important de se renseigner sur les agissements des siths."

Rayl penssait avoir dit ce qu'il avait sur le coeur, et il espérait que les jedis présents se mettraient d'accord au plus vite.

Ayud opine :

- Je suis de l'avis du Chevalier Qui'sa. Mettons en place le fond, la forme viendra. Laissons Le Savoir être notre arme dans cette guerre. Laissons la lumière de l'Ordre croître à nouveau en harmonie : formons correctement des padawans à former d'autres padawans tandis que nous reprendrons notre quête de connaissance, sur La Force, sur les siths mais aussi sur nous même.

Ayud regarde le grand feu autour duquel ils sont réunis :

- Nous ne pouvons nous en remettre au hasard. Nous devons partir à la recherche des étoiles qui brillent dans La force et les soustraire à la convoitise des siths comme nous l'avons été nous même par nos maîtres. Je crois que sauver et réunir les êtres sensibles à La Force non perverti devrait en effet faire partie de nos priorités. Après quoi je pense qu'il faut recueillir plus de renseignement sur ce que nous ignorons de notre ennemi pour finir par en trouver le point de rupture que nous pourrons exploiter pour rétablir l'équilibre dans La Force.

Ayud regarde plus particulièrement direction du feeorin :

- Maintenant c'est mon avis mais j'aimerais comprendre ce que vous entendez par construire l'Ordre... en dur !

Rayl comprennait vraiment Ayud. Il lui semblait que tous deux, ils étaient sur la même longeur d'onde.
Ecoutant attentivement les différentes réactions, Rayl reprend la parole :

"Maître Tobbi, nous sommes encore faible et nous ne pourrons résister à une attaque de l'empereur Ness. Créer en ordre en dur, signifie je suppose établir le temple et se faire connaitre. Or faire cela est le meilleur moyen de se faire voir par l'empire, et donc de se faire exterminer. Je pense que nous devrions plutôtdiffuser nos idées insidieusement, recruter des apprentis. Il est certain que nos futurs padawans ne viendront pas d'eux même, ou alors très peu. Nous ne sommes qu'une rumeur, il est donc important que ce soit nous qui ayons les chercher."


Peut-être n'était-ce pas là ce que le chevalier Tobbi voulait dire, c'est pourquoi Rayl attendit patiemment que celui-ci prenne la parole.

Ayud fronce les courcils :

- Il y a manifestement des divergences dans nos formations chevalier Tobbi. Mon maître m'a enseigné comment trouver et identifier les êtres sensibles à La Force. Si nous les attendons ici, nous risquons de patienter longtemps. Certains n'ont que quelques années et sont tout à fait incapables de se déplacer seul jusqu'à nous. Ils tomberont dans les griffes des siths avant de venir se réfugier dans nos mains. Chercher les aspirants jedis est dans Le Code qu'on m'a enseigné. C'est notre devoir. L'Exil nous a obligé à limiter notre nombre jusqu'à l'Appel. C'est fini : l'Ordre doit croître et l'Ordre ce n'est pas les murs, c'est les coeurs !

Thiks observait les chevaliers se battre stupidement. Heureusement, l'un d'eux, qui semblait assez timide, demanda à Thiks de raconter son histoire. Le fallait-il vraiment? Etait-ce vraiment important pour eux?

D'accord.

Le vieux maître leur fit signe de s'asseoir, puis il s'assit à son tour,et commença à raconter :

Tout à commencé il y a environ... 900 ans, oui... J'était déjà maître au Conseil, au Temple Jedi de Coruscant. J'avais un très bon ami, un chevalier jedi nommé Phéonatix. Il avait découvert les plans de l'Ultima, qui comme vous le savez, est une arme destructrice. Au début, personne ne se doutait que mon ami allait donner les plans à un Seigneur Noir... Dark Derstion... qui en fit construire sur Kuat... Quelques temps après, il tua le seigneur sith à qui il avait donné les pans de l'Ultima et prit sa place. Il attaqua avec un premier prototype de l'Ultima le temple jedi, et la majorité des jedis furent massacrés... L'année 0 fut déclarée. Quelques mondes tentèrent de se rebeller, mais Phéonatix, qui était devenu Dark Ness, massacra ces mondes, pour faire des exemples, et ainsi faire régner la terreur... Voilà. Vous connaissez la suite.

Thiks regarda les chevaliers jedis qui ne disaient rien.

Ayud avait écouté posément le récit du Kel'Dor. Il reprend la parole :

- Il est temps d'agir et de ne pas reproduire les erreurs du passé. Maître Thiks, je vous en prie, reformez le Conseil et qu'il nous montre une voie juste et saine. Il faut que nous mettions au travail, chacun à sa tache.

Que faite-vous maitre ?

Dit tobbi en acceptant de le suivre a l'avance

Thiks répondit, par la réponse à laquelle il réfléchissait ;

Réformons le Conseil maintenant. C'est ce que nous devons faire, si nous voulons regagner notre sagesse. L'Ordre viendra après, ainsi que les padawans.

Le maître jedi regarda les chevalers, se leva et dit d'un air déterminé :

Commençons tout de suite.

Le maître jedi sourit, puis dit à son tour :

Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.

Thiks regarda les autres chevaliers comme attendant que le code continue d'être dit.

Ayud baisse la tête. Il connait bien sûr cette litanie qui introduit le Code pour les jeunes padawans, la première leçon, celle qui n'apprend qu'à chercher :

- Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.

Précédent

Jaizen arriva en arrière d'un des Jedi, son sabre vert était toujours allumé et il entendit quelques mots par rapport au conseil. Il s'arrêta et dit...

"Heum, bonjour à tous..."