Cellule d'Ayud Godmamon

Le jedi est assis en tailleur au centre de la petite cellule sombre aux parois de cristacier cortosique noir. Des brilleurs encastrés dans les murs dispensent un étrange ambiance crépusculaire dans la pièce. La température avoisine les 278°k. Le visage du prisonnier est plongé dans l'ombre de son capuchon dont ne s'échappe qu'une haleine blanche à un rythme lent. Son corps est enveloppé dans son manteau et ses mains, croisés dans ses manches. On jurerait presque qu'il ne touche plus le sol.

Une machinerie bourdonne doucement autour de la cellule formant une cage électro-magnétique Kuryonn sensée bloquer les perceptions extra-sensoriels des sensibles à La Force.

Ayud pense à ce blindage psychique en observant son visiteur :

* Comment les siths peuvent-ils croire en ce genre de chose après 10 000 ans d'études ?*

Il laisse les vents de La Force gonfler les voiles de son esprit et sa vision voguer sur les chemins possibles de l'avenir à l'intérieur de cette pièce.
La femme qui vient d'entrer souffre comme il n'a jamais souffert lui-même, qui sent pourtant encore la morsure des talents de l'Empereur. C'est de là qu'elle pense tirer sa supériorité. Mais son esprit est émaillé. Elle expose son âme à nue.

Déconcentré, Ayud retrouve brutalement le contact avec le sol et tombe sur le flanc en laissant échapper un râle de douleur.
De petites étincelles bleutées résiduelles mordent un moment après que la sith ait laché prise.

Le jedi, assis sur le sol, étire doucement ses muscles d'un mouvement des épaules et du cou pour disperser la souffrance physique. Il dit, en se massant l'épaule, d'une voix calme et mesurée dans laquelle percent les accents de La Force.

- Pensez vous, Madame, que vous avez besoin de ça pour retenir mon attention ?

Il sourit cranement :

- Croyez qu'elle vous est toute acquise de même qu'il n'y a en moi rien que je ne puisse vous transmettre.

Ayud répond honnêtement. Certains de ces mots résonnent étrangement, comme des pensées propres :

- Il n'y avait pas d'autre chevalier jedi avec moi si c'est ce que vous voulez savoir. Autre chose Madame ?

Il s'assit à nouveau en tailleur, tranquillement.

Puis Umbra et ayud sentirent que l'empereur approchait de la cellule. a quelque pas de la cellule un lientenant dis a l'empereur:
Mon Seigneur, Le prisonnier a été conditionné selon vos instruction.
Bien. Autre chose?
Le seigneur Umbra est déja avec le prisonier.
Ah bon. C'est sans importance. Préparez le repas du prisonier. Quelque chose de gluant, visqueux, qui a parait-il un gout a en voumir et qui mange de la salade.
Bien mon seigneur
Le com pars chercher immédiatement le repas demmandé. L'empereur arrive a la porte qui s'ouvre devant lui. Il passe la porte en disant:
Alors jedi. Le voyage vous a-til faut réfléchir? Seigneur Umbra. A-til dit quelque chose d'intéressant?

Le jedi tourne la tête et la lève malicieusement pour attendre avec l'Empereur la réponse du seigneur Umbra.

L'empereur fixe Ayud avec méprids il réponds:
Non.
Il hausse le to n sur Ayud:
Quand a toi, jedi. Assez de messonge. Vous m'avez mentis dans le passé et mêm rejetté. Alors je veux des réponse et pas des blabla de maitre jedi. Combient etes-vous? Pourquoi suivre ceux qui ont mentis a tous? Ceux qui promette tout mais ne donne rien quand il faut. Quel monsonge vous ont-il raconté sur le passé. Je sais que tu étais acompagné.
Ayud entend le ton colérique prouve son dégout a l'égard des jedi mais il y voit autre chose....

Le jedi laisse planer un silence palpable avant de répéter calmement :

- Aucun autre chevalier jedi ne s'est écrasé avec moi sur Kasshyyyk. Je ne mens pas. Nous n'en avons pas besoin. C'est la vérité.

Ayud ne ment pas. Il laisse l'empereur et sa séïde le comprendre puis s'adresse plus particulièrement à l'Empereur sachant que son subalterne l'écoute :

- Vous ne nous comprenez pas Empereur. Les jedis ne donnent pas ce dont vous avez besoin. Ils enseignent comment le trouver. Ne nous tenez pas responsable de votre échec. Vous avez manqué de courage, pris une route qui vous a semblé plus courte mais sur laquelle vous vous êtes perdu. Et c'est une route sur laquelle vous ne pouviez pas demander à vos maîtres de vous suivre pour vous y guider. Vous avez fait un choix. C'était votre droit mais assumez en les conséquences.

Le jedi prend un inspiration dans laquelle il puise un peu plus de sérénité :

- Moi, si vous me le demandez, j'accepte de partir à votre recherche sur ce chemin... pour vous en ramenez et vous faire trouver ce qui vous manque.

Le chevalier adopte une mine sévère sous son capuchon. Il sait qu'il entre désormais sur le vrai terrain dangereux.

L'empereur l'écoute et réplique:
C'est vous qui avez éhoué. J'ai mis fin a la guerre. Chose que vous n'avait pas sus faire durant des millier d'année. Vous enseigné des messonges et vous êtes les premiers a blamer vos éléves. Vous dites que je manque de courage alors que j'ai été affronté l'ennemie pendant que vous restier assis au chaud..... Je suis las et outra de voir que vous n'avez nullement changé. Seigneur Umbra, Obtenez tous ce que vous pouvez. Ne le tuez pas. Brisez le. Montrez lui ce qu'est la souffrance, celle qu'il jure de défendre mais ne la défend pas en réalité.

Il se retire Il avait un légé regard.

Le jedi regarde le maître sith lui tourner le dos pour sortir et ajoute doucement :

- Vous avez raison Empereur. Nous n'avons pas changé. Nous restons un point fixe dans l'Univers à partir duquel il est possible de choisir une direction. Avez vous fait mieux ?

L'empereur continue sa marche doucement en disant:
J'ai apporté la paix a la galexie. Je fait regné ordre et justice. Avez-vous entendu parler des wookies....

Ayud le visage toujours dissimulé dans son capuchon, baisse la tête, plongeant quelques instants dans la fraicheur désaltérante d'une méditation éclair.

Les pièces du jeu prennent une à une leur position...

L'empereur sent une autre présence. Il Poursuis:
Tiens, tiens. Vous restez sans voie? Vous n'avez plus rien a dire? Vous admettez que j'ai raisons?

L'empereur jette un regard noir sur Umbra et réponds furieux:
Parlez moi autrement Ou vous connaitrez ma colère.
Il sort et la porte se ferme derrier lui. Pour Ayud les chose risque de changer.
Dark Ness voit wezo et dit:
Et bien vous voilà enfin vous avez des rapport en retard allons à coté en parler.

Le jedi ne bouge pas.

Il dit très sérieusement de sa voix impassible :

- Nous sommes trop nombreux Madame. Notre rayonnement dépasse votre Empire depuis bien longtemps déjà. Le règne de votre Empereur ne repose plus que sur notre refus de gagner à tout prix. Quant à nos pouvoirs vous ne pouvez imaginez à quel point il dépasse les votre à leur manière.

Ayud enseigne alors :

- Ma Dame, l'intensité d'une lumière ne vaut-elle pas que par l'épaisseur des ténèbres qui l'entourent ? Et un soleil ne brille-t-il pas toujours quand la Tempète souffle ?

Il pause un silence puis reprend sur un ton doctoral :

- Votre Empereur tient, depuis des siècles, un mirage inchangé au creux de sa main qui n'a rien à voir avec la chose remuante qu'est La Galaxie. Sa vision dans La Force est aujourd'hui réduite alors que la notre s'étend dans des mondes que vous ignorez, des lieux trop éloignés pour que votre puissance puisse s'y exprimer. Où croyez vous que nous étions ?

Il sourit à nouveau en affirmant finalement :

- Ce que n'ont pas compris les siths, c'est que remonter le courant ce n'est pas contrôler la rivière mais simplement aller contre elle. Or Ma dame, c'est toujours la rivière qui gagne.

Zilion s'approcha de la cellule et regarda le jedi dans les yeux. Il prit une voix grave et sérieuse.

Les jedi ne savent que faire des belles métaphore comme tu viens de faire, la question est sais tu vraiments de quoi tu parles? Tu es faible et ta naiveté ainsi que ta croyance envers la lumière prouve ton impuissance face au pouvoir de l'Empereur... La preuve, si tes sois disant amis Jedi aurait été puissant et auraient cru en toi tu serais déjà sortit de cette prison.

Le sith eut un rire étouffé.

À la place tu pourris ici en face de trois de tes ennemis... Je ne crois pas que tes paroles stupide et ta croyance envers ceux qui t'ont laissé tombé vont te sauver... Enfin, peut-être qu'ils ne veulent plus de toi qui sais? Et qui sont ceux que tu considères comme tes amis?

Ayud sourit sereinement :

- On n'a pas a sauver ce qui n'est pas en danger.

Il ajoute une pointe d'ironie détachée :

- Mais pour répondre à votre question, je ne désespère pas de faire de vous un ami sincère.

Zilion regarda le prisonnier d'un air amusé. Il eut un petit rire et détourna le regarda. Il retourna ses yeux sur Ayud et repris la parole.

Ce qui n'est pas en danger? Ne néglige pas Jedi, que en tant que Sith nous pourrions te faire soufrir jusqu'à la mort pour avoir nos réponses et ne me considère pas comme un ami loin de la. Maintenant si tu souhaites que c'est question finisse rapidement, répond, qui sont ceux qui te dirige. Je veux des noms et des lieux.

Ayud plonge ses yeux clairs, emprunt de sérénité, dans ceux du sith :

- Je ne néglige pas votre menace et je n'ai aucune envie de souffrir. Vous voulez un nom et un lieu ?

Il hausse les épaules :

- Ness, ici.

Le jeune homme sourit en montrant d'un signe circulaire de la main :

- En m'ammenant ici, votre empereur a fait de cette cellule le plus spacieux et le mieux fréquenté des temples jedi de La Galaxie. Vous y êtes officiellement le bienvenu comme tous les votres.

Il penche la tête :

- Votre maître dit allez voir La Lumière. Si elle est si faible, il ne sera pas difficile de la souffler, non ?

Zilion abaissa les yeux. Il observa ses mains et les leva tranquilement. D'un coup il envoya la foudre Sith au travers des barreaux pour faire souffrir le Jedi. Il arreta aussi subitement qu'il avait commencé.

Ta croyance aveugle envers les tiens et ton idéologie de la lumière me dégoute Jedi! Tu vas mourir comme tout les siens et si il le faut nous ferons sa avec tout les autres jusqu'au dernier! Je te donne une derniere chance de me dire ou est caché ton organisation ou la lumière s'éteindra dans ton imbecile d'esprit!

Zilion ferma les poings fortement et regarda le Jedi d'un air colérique.

Les éclairs bleutés grésillent sur le corps d'Ayud, face contre terre, qui se contorsionne de douleur. Il se redresse difficilement en s'appuyant sur ses bras et dit d'une voix brisés :

- C'est ton erreur de croire que La Lumière se cache dans mon esprit alors qu'elle réchauffe mon coeur. Tu ne peux pas me tuer parce que tu n'en as pas le droit. Ton maître est mon meilleur protecteur et toi tu te ridiculises dans de fausses menaces pour lui être agréable, gentil valet.

Ayud sourit.

Zilion en avait plus qu'assez il eut le gout de sortir son sabre mais se retena. Il se retourna vers Unamed.

Il nous sert à rien nous devrions l'abattre maintenant sa ferais un Jedi de moins dans l'univers!

Le vaisseau de l'empereur arriva et se posa. Il en sortit et fut escorté a la cellule du prisionnié. La porte s'ouvris et l'empereur dit:
Alors. A-t-il dit quelque chose?

Zilion se raidit en voyant l'Empereur arriver. Il se mit à genoux et baissa la tête.

Si je peux me permettre de prendre la parole, non Empereur il ne veut pas parler.

Zilion resta à genoux.

L'empereur regarda Ayud d'un oeil noir et dit:
On a assez perdu de temps. Mettez le en salle de torture. Faites lui conaitre ce que signifie le mot souffrange.

L'emereur va voir le seigneur Wezo

Ayud s'assoit en position de méditation et se concentre pour découpler certaines terminaisons nerveuses comme on coupe un circuit électrique.

Ayud reste plongé dans sa méditation, appremment indifférent.

Ayud décale sa vision dans l'avenir immédiat.

A la vitesse d'un éclair, Ayud tourne sur ses pieds et se place dos aux siths. La poignée du sabre de Zilion saute de sa ceinture dans les mains menottés du jedi. La lame rouge surgit en hurlant. Il se retourne et se lève en un mouvement précis et rapide. Les menottes de cristacier tombent à terre tandis que le fil rouge sectionne en vrombissant les mains du premier garde et la tête du second avant de venir se placer entre la gorge de l'otage jedi et le sabre de Wezo. Les deux sabres s'entrechoquent dans un bruit électrique. Ayud soulève les lames et les rejette pour se lancer dans une série de passes véloces et tournoyantes qui font de l'exiguité de la cellule un bouclier mortel devant Wezo, Zilion et Umbra.

La petite cellule est devenue un piège de lames d'énergie qui vrombissent en tout sens en un ballet meurtrier.

Dans un lieu aussi exigu, le combat au sabre laser passe d'un exercice nécessitant une précision extrème à une prouesse de chaque seconde dont la difficulté s'accroit exponentiellement.

Ayud fend la vague de Wezo. Il entre instinctivement en raisonnance avec le style de Katar et les deux jedis ne font bientôt plus qu'un face aux siths isolé au sein de La Force. La tête de Zilion tombe de ses épaules.

Le sabre d'Ayud tranche le verrou de la porte qui s'ouvre. Le combat se déplace dans le couloir abandonnant les corps mutilés de 2 gardes et d'un seigneur des siths.

<~~ Arrivée de Traya

Il arriva au environ de la cellule mais il entendit des choc de sabres lasers, il y avait du y avoir un probleme. Tout de suite il vit le coté positif de la chose, s'il s'entretuais, il aurais moins de pain sur la planche.

Il fit signe a ses deux escouades de se faire le plus discrets possible et il preferat atendre le bon moment pour agir, si ses imformations était bonne il y avait deux prisoniers jedi et qua quatre sith, s'il n'y avait pas eu de mort depuis.

Il ne se risquas pas a regarder dans le couloir et preferat ecouter le suite des évmenement.